Burkina Faso / Désinformation et pression extérieure : Le pouvoir du Président Ibrahim Traoré face à l’ingérence impérialiste

Depuis que le Burkina Faso a engagé un processus déterminé de reconquête de son territoire sous l’impulsion du Capitaine Ibrahim Traoré, les apatrides et leurs maitres impérialistes opposés à une réelle émancipation du pays multiplient les actions pour freiner cette dynamique. L’un des leviers les plus utilisés reste la communication, notamment à travers certains médias français dont les narratifs s’inscrivent régulièrement dans une logique de dénigrement.

Un exemple marquant de cette stratégie se retrouve dans un récent article du journal Le Monde, qui évoque sans fournir de preuves tangibles que le Président burkinabè serait « sous pression » au point d’envisager un recours à des forces tchadiennes pour assurer sa sécurité personnelle. Une allégation qui, au-delà de son absence de fondement factuel, semble viser à éroder la confiance entre le chef de l’État et l’armée nationale.

Cette démarche s’inscrit dans une campagne plus large de désinformation, visant à fragiliser la cohésion des Forces armées burkinabè. En insinuant une supposée défiance du Président envers ses hommes, ces narratifs cherchent à susciter des tensions internes et à affaiblir l’unité militaire nécessaire à la lutte contre l’insécurité.

Il convient de rappeler que de telles manœuvres ne sont pas nouvelles : elles relèvent d’une forme d’ingérence informationnelle destinée à influencer la perception publique et à détourner l’opinion des avancées concrètes obtenues sur le terrain. Dans ce contexte, la vigilance et l’unité des Forces armées sont plus que jamais essentielles.

L’heure est à la cohésion, à l’engagement partagé et à la résilience collective. Le peuple burkinabè, attaché à sa souveraineté, compte sur la loyauté et le professionnalisme de ses défenseurs pour maintenir le cap d’une indépendance pleine et entière. Face aux pressions extérieures, seule une réponse ferme, lucide et solidaire permettra de préserver les acquis et d’aller plus loin dans la consolidation de la paix et de l’autonomie nationale.