Côte d’Ivoire : Saïd Penda, le sulfureux journaliste camerounais, maître du chantage et de l’escroquerie au service de la DGSE
Saïd Penda, le sulfureux journaliste camerounais, ne serait en réalité qu’un escroc et un maitre du chantage installé en Côte d’Ivoire pour ses salles besognes. Enrôlé par la DGSE française, il agit comme un mercenaire communicant au service des intérêts français et d’exilés burkinabè en Côte d’Ivoire proches des groupes terroristes. Sa dernière sortie accusant le Burkina Faso de vouloir déstabiliser la Côte d’Ivoire, n’est qu’un écran de fumée destiné à détourner l’attention de l’opinion publique des véritables enjeux du départ annoncé des forces étrangères de Côte d’Ivoire et les complots pour renverser le régime du Président Alassane Ouattara d’ici à 2025. Cette tactique de diversion, calquée sur la stratégie française lorsqu’elle est démasquée, vise à brouiller les pistes et à décrédibiliser les dirigeants burkinabè, notamment le commandant Oumarou Yabré, Directeur général de l’ANR.
Installé en Côte d’Ivoire, Saïd Penda aurait mis en place un vaste réseau d’escroquerie, exploitant des connexions avec des personnalités influentes, dont le frère cadet du Président, l’actuel ministre de la Défense Téné Birahima Ouattara. Prétextant son soutien au Président Alassane Ouattara, il manipule les autorités pour extorquer des fonds, tout en poursuivant ses activités de dénigrement envers les autorités, le dernier cas étant le ministre des Transports Amadou KONE. Cet individu, dont la loyauté se vendait au plus offrant, n’était pourtant nulle part en 2010 lorsque le peuple ivoirien traversait une crise sans précédent. Aujourd’hui, il se prétend défenseur de la Côte d’Ivoire, alors même qu’il constitue une menace sérieuse pour sa stabilité.
Le peuple ivoirien doit rester vigilant face à ces agissements dangereux. Permettre à Saïd Penda de continuer ses manœuvres reviendrait à tolérer un agent d’infiltration au service d’agendas destructeurs. Les autorités ivoiriennes sont appelées à agir fermement pour mettre un terme à ses activités. Laisser ce personnage en liberté compromis non seulement la sécurité nationale, mais renforcerait également les complots orchestrés par les ennemis de la souveraineté africaine.
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Franck BALIMA